Chêne à gros fruits et caryer ovale.

Le béton et le bitume emmagasinent la chaleur. Les voitures et les climatiseurs dégagent de la chaleur, accentuant le phénomène d’Îlot de chaleur. Une saine forêt urbaine et la végétation dans les milieux urbains permettent de réduire la chaleur en période estivale.

Castor, poisson chat et sagittaire.

Dans les villes, les espaces bâtis et les voies de circulation créent des surfaces imperméables, qui empêchent l’infiltration naturelle des eaux de pluie dans le sol. Ceci entraîne un ruissellement et des crues plus importantes lors de fortes pluies. Les habitats non-aménagés de notre forêt préservent le cycle naturel de l’eau.

Promeneurs, naturalistes, artistes, patineurs.

Un parc naturel de proximité comme celui-ci facilite les liens sociaux et améliore la santé et le bien-être des citoyens. Il est prouvé que le contact avec la nature contribue à une meilleure concentration, une plus faible occurrence des maladies
cardiovasculaires, de dépressions et de fatigue nerveuse. Les bienfaits s’accentuent avec la grandeur de l’espace, la taille des arbres et la complexité visuelle, qui sont d’ailleurs des caractéristiques du Parc Deschênes.

452 plantes, 271 oiseaux, 57 poissons, 17 mammifères.

Les différents habitats d’un parc naturel, comme le Parc Deschênes, abrite une biodiversité riche, y compris des espèces en danger et menacées, et peut donc jouer un rôle vital de conservation de la biodiversité. La protection de nos espaces verts par les municipalités et les communautés favorise les habitats assurant la santé de certaines espèces essentielles comme les abeilles.

La forêt Deschênes fait d’ailleurs partie d’un territoire reconnu pour sa diversité en espèces d’oiseaux et est inclus dans la Zone Importante pour la Conservation de Oiseaux (ZICO) du lac Deschênes- Rivière-des-Outaouais. (Le programme ZICO est une initiative de conservation  internationale coordonnée par BirdLife International).